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L’image de soi, pour mieux travailler celle des autres.

  • Photo du rédacteur: Cléa Ivain
    Cléa Ivain
  • 31 juil.
  • 2 min de lecture

Dans le monde de la communication, de l’image et du storytelling, on attend souvent des professionnels qu’ils soient exemplaires, sûrs d’eux, clairs sur leur posture. Mais la réalité est parfois plus nuancée.Parce que pour moi, être légitime, ce n’est pas forcément tout savoir, tout maîtriser. C’est avant tout incarner ce qu’on défend, essayer, expérimenter, parfois douter… et toujours chercher à faire mieux.


Alors quand je vous accompagne dans vos projets – que ce soit pour une séance photo, une vidéo de marque, une stratégie éditoriale ou une création de contenu – je m’efforce d’appliquer ce que je conseille.Même si… ce n’est pas toujours évident. Et encore moins confortable.



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Si vous me connaissez un peu, vous savez que je dis souvent :

“Je vous prends en photo parce que je ne suis pas à l’aise avec la mienne.”

Et c’est vrai. Je l’ai longtemps vécu comme une contradiction.Comment guider des personnes dans leur posture, leur image, leur communication visuelle… si moi-même je peine à poser devant un objectif ?


Mais avec le temps, j’ai compris que cette gêne, ce recul, ce doute même, faisaient partie de ma valeur ajoutée. Ils m’obligent à être à l’écoute, à poser les bonnes questions, à créer des environnements de confiance où l’on peut se montrer sans se trahir.


Alors j’apprends. Je me confronte à l’objectif, je teste, j’essaie.Je prends le temps de comprendre ce que je ressens, pour mieux comprendre ce que vous ressentez. Je m’exerce à la lente réconciliation avec mon image, pour que mes clients – vous, peut-être – puissent vivre la même chose avec plus de sérénité, plus de bienveillance envers eux-mêmes.

Être photographe, vidéaste, communicante, créatrice de contenus, ce n’est pas seulement maîtriser une technique. C’est aussi savoir observer, écouter, traduire. Et parfois, ça commence par soi.


Pour ceux qui découvrent mon travail avec cette photo...


Moi c’est Cléa, j’ai 23 ans.


Il y a un peu plus d’un an, j’ai pris un virage un peu inattendu. J’ai quitté mes études juste avant Noël (coucou le stress). Et en février 2024, j’ai lancé La Majuscule, une agence de communication indépendante, née d’un besoin vital de sens, d’alignement et de créativité.

Depuis, je collabore avec des marques engagées, des artistes, des entrepreneurs, des artisans… qui ont une histoire à raconter. Ma mission : créer des contenus porteurs de sens, qui révèlent les identités sans les figer, qui valorisent les singularités sans jamais tricher.



Et maintenant ?


Si tu es ici, c’est peut-être parce que tu te poses des questions sur ton image. Tu veux gagner en cohérence, oser te montrer, trouver les bons mots, les bons formats. Peut-être que tu cherches une personne à qui parler sans filtre, quelqu’un qui comprendra tes doutes, tes freins, mais aussi tes envies.


Alors parlons-en. Échangeons. Testons. Créons ensemble quelque chose qui te ressemble.

À bientôt,

Cléa

 
 
 

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